Théorie de l’evolution

 

L’EVOLUTION : UNE THEORIE EN CRISE.

Depuis 1859, année où Darwin publia son ouvrage « De l’Origine
des Espèces », la théorie de l’Evolution est enseignée
dans nos écoles et nos universités, non pas comme une
théorie, mais comme un fait scientifique avéré.

Seuls quelques chrétiens « fondamentalistes » attachés aux Saintes
Ecritures voulaient encore croire à une Création à partir
de rien (ex nihilo) par le Dieu de la Bible. Ils sont la risée de
tous, méprisés comme de pauvres naïfs refusant de voir
l’évidence de l’évolution de l’homme…

En réalité, les évidences sont minces, pour ne pas dire
inexistantes. Les plus grands scientifiques de notre ère, tous
évolutionnistes à quelques exceptions près sont en train
de réaliser que la théorie de l’Evolution est un produit de
l’athéisme de la fin du XIXe siècle et non une explication
scientifique véritable de ce qu’on observe dans la nature. Le physicien
anglais H.S. Lipson, dans le Physics Bulletin de mai 1980 a fait part,
également, de ses conclusions, à son propre étonnement.
Il écrit : « En fait, l’Evolution est devenue en quelque sorte une
religion scientifique; presque tous les savants l’ont accepté et beaucoup
furent prêts à « tordre » leurs observations pour qu’elles
correspondent à cette théorie Mais pour moi, la théorie
de l’Evolution ne tient pas debout. Si la matière vivante n’est pas
le produit de l’interaction entre les atomes, les forces naturelles et les
radiations, alors comment est-elle apparue? Je pense que la seule explication
acceptable est la création. Je sais que cette idée est taboue
parmi les physiciens, comme elle l’était jusque-là pour moi,
mais on ne doit pas rejeter une théorie que nous n’aimons pas si
l’évidence expérimentale est en sa faveur. »

Mais dès 1967, une conférence de mathématiciens au Wistar
Institute avait prouvé avec certitude que la sélection naturelle
et les mutations génétiques ne pouvaient en aucun cas amener
une évolution des espèces. Jacques Monod, le Prix Nobel
français de biologie moléculaire, avait démontré
dans son livre « Le Hasard et la Nécessité », que l’Evolution
était impossible d’un point de vue biologique. En 1980, une
conférence de savants évolutionnistes du monde entier, s’est
réunie à Chicago (USA) pour déterminer si les petits
changements au sein d’une même espèce (appelés « mutations »)
peuvent, avec le temps et la chance, mener à une évolution
de l’espèce. La conclusion, impensable il y a encore quelques
années, fut que NON (les résultats de cette conférence
ont été résumés dans le magazine Newsweek pour
les profanes et le magazine Science de novembre 1980 pour les professionnels).

Pierre Grasse, par exemple, considéré comme le porte-parole
des zoologistes français, avoue que les mutations ne font que modifier
ce qui existait déjà et ne créent rien de nouveau. Les
paléontologues (qui s’occupent des fossiles) ont déclaré
que les évidences fossiles révèlent que la
réalité est bien loin du Darwinisme classique, tel qu’il est
enseigné dans les écoles américaines (article de Newsweek
). Stephen Gould ajouta : Toute trace d’évolution est absente des
roches. Newsweek fait remarquer que le chaînon manquant entre l’homme
et le singe est le plus prestigieux de toute une hiérarchie de
créatures fantômes. Dans le monde fossile, les chaînons
manquants sont la règle.   Plus les scientifiques ont cherché
des formes de transition entre espèces et plus ils ont été
frustrés.

Deux autres savants, astronomes et mathématiciens, Sir Fred Hoyle
et Chandra Wickramasinghe, ont défrayé la chronique en novembre
1981 par leur révélation. Sir Fred Hoyle, considéré
comme l’un des plus éminents astronomes au monde, et jusque-là
évolutionniste convaincu, a publié un article dans le magazine
Nature sous ce titre : Il doit y avoir un Dieu. Les deux savants ont
travaillé chacun de leur côté pour arriver aux mêmes
conclusions : la vie n’est pas le résultat du temps, du hasard et
des propriétés de la matière, mais d’une action
délibérée. Hoyle était un agnostique et
Wickramasinghe un bouddhiste athée qui, selon ses propres mots, avait
subi un lavage de cerveau l’amenant à penser que la Science s’opposait
totalement à tout acte de création.

Un autre savant éminent, le Prix Nobel Szent-Gyorgyi, a
déclaré, après avoir étudié un oiseau
comme le pivert, que la probabilité pour que des mutations aient produit
une coordination si parfaite pour creuser le bois est nulle. Tout cela a
dû apparaître au même moment. C’est bien sûr ce que
le récit biblique décrit depuis toujours. « Au commencement,
Dieu créa le ciel et la terre » (Genèse 1:1). L’homme essaye
de fuir cette vérité parce qu’il refuse de se soumettre à
son Créateur.

Mais la réalité d’un Créateur intelligent et aimant
est trop évidente pour rester cachée plus longtemps : « Les
perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa
divinité se voient comme à l’oeil nu depuis la création
du monde, quand on les considère dans Ses ouvrages. » (Romains 1: 20).

Emmanuel Bozzi

mai 8th, 2018 by