Category: bibliste

mai 8th, 2018 by admin_website

Vivre autrement… selon la Bible

 


Jean 8:12 Jésus leur parla de nouveau, et dit: Je suis la lumière du monde; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie.

 

2 Cor 5:17 Si quelqu’un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.

 

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mai 8th, 2018 by admin_website

Irai-je au ciel ?

Instructions :

Indiquez ci-dessous ce que vous croyez nécessaire pour aller au ciel.

1. Essayer de pratiquer les dix commandements.

2. Donner de l’argent à une oeuvre.

3. Faire de son mieux.

4. Mener une bonne vie.

5. Faire de bonnes oeuvres.

6. Aimer son prochain.

7. Donner de l’argent à l’église.

8. Etre inscrit à une église.

9. Assister régulièrement à l’église.

10. Prier.

11. Jeûner.

12. Etre baptisé.

13. Prendre la sainte communion.

14. Etre né de parents chrétiens.

15. Etre confirmé.

16. Faire pénitence.

17. Recevoir l’extrême onction.

Maintenant, continuez à la page suivante afin de savoir ce que dit
la Bible, Parole de Dieu.

Explications :

N° 1 – Il est impossible d’aller au ciel de cette manière. La
Bible dit : « Car nul ne sera justifié devant lui par les oeuvres de
la loi, puisque c’est par la loi que vient la connaissance du péché. »
(Romains 3:20)

N° 2, 3 ou 4 – Ces choses ne pourront jamais vous sauver. La Bible dit
: « Il nous a sauvés, non à cause des oeuvres de justice que
nous aurions faites, mais selon sa miséricorde… » (Tite 3:5)

N° 5, 6 ou 7 – Les bonnes oeuvres ne peuvent sauver personne. La Bible
dit : « Car c’est par la grâce que vous êtes sauvés, par
le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c’est le don de Dieu. Ce
n’est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie. » (Ephèsien
2:8-9)

N° 8, 9, 10 ou 11 – Nous ne pouvons être sauvés par les
oeuvres, qu’elles soient bonnes ou faites dans de bonnes intentions. Dieu
nous sauve par sa grâce (sa miséricorde). La Bible dit : « Or,
si c’est par grâce, ce n’est plus par les oeuvres; autrement la grâce
n’est plus une grâce. Et si c’est par les oeuvres, ce n’est plus une
grâce; autrement l’oeuvre n’est plus une oeuvre. » (Romains 11:6)

N° 12 ou 13 – Le baptême d’eau et la communion sont destinés
à ceux qui sont déjà sauvés. Ce n’est pas par
nos oeuvres que nous sommes sauvés, mais par la foi en Jésus-Christ.
La Bible dit : « Et à celui qui ne fait point d’oeuvre, mais qui croit
en celui qui justifie l’impie, sa foi lui est imputée à justice. »
(Romains 4:5)

N° 14. – Ceci ne peut vous sauver. La Bible dit : « C’est-à-dire
que ce ne sont pas les enfants de la chair qui sont enfants de Dieu, mais
que ce sont les enfants de la promesse qui sont regardés comme la
postérité. » ( Romains 9:8)

« Mais à tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient
en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels
sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de
la volonté de l’homme, mais de Dieu. » (Jean 1:12-13)

« Non du sang » veut dire « non de ses parents ». Il faut être né
de Dieu pour être sauvé.

N° 15, 16 ou 17 – Ce sont des doctrines créées par l’homme,
qui ne se trouvent pas dans la Bible. Jésus a dit : « C’est en vain
qu’ils m’honorent, en enseignant des préceptes qui sont des commandements
d’hommes. » (Matthieu 15:9)

NON ! Aucune de ces choses ne peut vous sauver. Vous ne pouvez rien faire
pour mériter la vie éternelle. C’est seulement la foi dans
le Seigneur Jésus-Christ qui peut vous sauver.

« Quiconque croit est justifié par lui (Jésus-Christ) de toutes
les choses dont vous ne pouviez être justifiés par la loi de
Moïse. » (Actes 13:39)

Nous ne pouvons avoir la vie éternelle (être sauvé,
pardonné, aller au ciel) par ce que nous faisons nous-mêmes,
mais par la justice parfaite que Dieu nous donne. Nous la recevons quand
nous croyons que le Seigneur Jésus-Christ a pris nos péchés
sur Lui-même et qu’Il les a payés par sa mort sur la croix.

« Celui qui n’a point connu le péché, il l’a fait devenir
péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de
Dieu. » (II Corinthiens 5:21)

On ne reçoit pas la vie éternelle en travaillant pour la
mériter ou en essayant de mener une bonne vie. On reçoit la
vie éternelle en croyant le témoignage de son Fils que Dieu
nous a donné. Rappelez-vous, si vous êtes en désaccord
avec ces affirmations, vous appelez Dieu menteur.

« Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même;
celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu’il ne croit pas au
témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce
témoignage, c’est que Dieu nous a donné la vie éternelle,
et que cette vie est dans son Fils. » (I Jean 5:10-11)

Dieu, dans Sa souveraineté, permet que la destinée de l’homme
dépende du choix de l’homme.

« Celui qui croit en lui n’est point jugé; mais celui qui ne croit
pas est déjà jugé, parce qu’il n’a pas cru au nom du
Fils unique de Dieu. » (Jean 3:18)

APRES le moment où vous êtes sauvé, l’obéissance
à Dieu apporte l’amour, la joie, la paix, et du bonheur à votre
vie (Galates 5:22-23)

Quand nous désobéissons à Dieu, il nous punira, mais
notre punition ne sera jamais l’enfer. Dieu nous traite comme un père
traite son enfant. (I Corinthiens 3:15 et 11:32)

Dieu ne nous mettra jamais dehors et il ne nous perdra jamais.

« Tout ce que le Père me donne viendra à moi, et je ne mettrai
pas dehors celui qui vient à moi; … Or, la volonté de celui
qui m’a envoyé, c’est que je ne perde rien de tout ce qu’il m’a
donné, mais que je le ressuscite au dernier jour. » (Jean 6:37,39)

N’est-il pas raisonnable de croire Celui qui est ressuscité des morts
et de faire confiance en Lui pour le paiement de votre péché
? Si vous faites confiance en Lui en ce moment-ci vous pouvez être
sûr d’aller au ciel quand vous mourrez. Il vous aime. Ici même,
si vous Lui demandez le pardon de vos péchés en croyant qu’il
a payé pour cela à la croix, vous pouvez SAVOIR que vous avez
la vie éternelle.

« Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez
la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. » (I Jean
5:13)

HIER, CHRIST EST MORT . . . C’EST DE L’HISTOIRE

HIER, CHRIST EST MORT POUR MOI . . . C’EST MON SALUT AUJOURD’HUI

« Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique,
afin que quiconque (votre nom ____________________) croit en lui ne périsse
point, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3:16)

Cher ami, si vous pouvez mettre sincèrement votre nom sur la ligne
dans le verset ci-dessus, sous l’autorité de la Parole de Dieu, vous
pouvez SAVOIR que vous avez la vie éternelle.

« En vérité, en vérité, je vous le dis, celui
qui croit en moi a la vie éternelle. » (Jean 6:47)

 

*Eglise Baptiste de Lille-Centre

44 rue du faubourg de Béthune

59000 Lille

France

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mai 8th, 2018 by admin_website

DEBUT DU MINISTERE DE LA MISSION S.E.E EN FRANCE

 

PREFACE

Le pasteur Arthur Sommerville a servi le Seigneur en Tchécoslovaquie
par le biais de la mission « Baptist Mid Mission » (B.M.M). Mais il a
été obligé de partir au printemps 1948 suite à
un changement de régime. Le nouveau gouvernement communiste ne permettait
pas le travail missionnaire. Le Seigneur l’amène à Paris où,
voyant les besoins spirituels, il décide d’étudier le
français pour un éventuel ministère.

La même année, Mlle Irène Cochran vient à Paris
pour perfectionner son français en vue de témoigner aux
administrateurs français en Afrique Equatoriale Française
(appelée maintenant la République Centrafricaine) où
elle servait comme missionnaire.

En Septembre 1948, Irène Cochran devient Mme Sommerville. Le jeune
couple s’installe à Bordeaux et Mr. Sommerville commençe son
ministère en France dans une petite ville appelée La Brède
à 24 kilomètres de Bordeaux. Il racontera plus tard qu’il a
voulu faire ses premières erreurs dans une petite ville où
l’on pouvait les oublier plus facilement. Il loue et fait réparer
une vieille tente de surplus américain pour des réunions
d’évangélisation. Il prêche tous les soirs pendant deux
semaines avec l’aide d’un interprète. Deux dames qui, dans leur jeunesse,
ont entendu les soldats américains chanter des cantiques en anglais
dans leur école, entendent de nouveau, les mêmes cantiques en
français. Elles raconteront plus tard à Mr Sommerville qu’elles
ont attendu des années pour réentendre ces cantiques et pour
connaître le même salut qui était si manifeste sur les
visages des soldats américains 30 ans plus tôt. Toutes les deux
accepte Christ lors d’une réunion.

Avec l’aide d’autres missionnaires de la B.M.M, Mr et Mme Sommerville fondent
la première église Baptiste à Bordeaux dans un cabaret
au centre de la ville. Après de multiples transformations, le cabaret
devient une église. Dès les premières réunions
d’évangélisation, plusieurs âmes sont sauvées
dont des américains qui font leur service militaire près de
Bordeaux. Aujourd’hui l’église de Bordeaux est propriétaire
de son propre bâtiment.

En 1952, Mr. et Mme Sommerville commencent une église à Toulouse
tout en demeurant toujours à Bordeaux. Mr. Sommerville exerce aussi
un ministère comme aumônier auxiliaire dans la base militaire
américaine à Bordeaux.

En Septembre 1954, Mlle Laura Copp, ayant terminé un an d’étude
de français à Paris, se joint aux Sommerville pour les aider
à évangéliser, à enseigner les nouveaux convertis
et les incorporer dans l’église locale. Le travail consiste en
réunions publiques, distributions de littérature, études
bibliques, clubs d’enfants et de jeunes, camps, etc..

Ils aident à l’établissement de leur premier Institut Biblique
en France, à Labatut, près de Bordeaux. Les trois premiers
jours de chaque semaine, ils enseignent à l’Institut et le reste de
la semaine, ils travaillent à l’église de Toulouse – chaque
semaine, durant trois ans, ils font la navette entre les deux villes. Mais
cet Institut ferme ses portes peu de temps après.

Lorsque Mr. et Mme Sommerville retournent aux Etats-Unis pour des congés,
après beaucoup de prières, ils fondent une nouvelle mission
S.E.E (Society for Europe’s Evangelization) qui innove l’idée du travail
en équipe dans le but de fonder des églises baptistes
indépendantes.

En Juin 1956, se tient le premier conseil de la mission S.E.E, composée
de quinze pasteurs et laïcs dans la ville de Michigan City, Indiana.
Le 7 Février 1957, la mission est enregistrée dans l’état
d’Indiana comme société à but non lucratif.

Pendant ce temps, Mlle Copp continue l’oeuvre à Toulouse avec l’aide
de missionnaires, de pasteurs et de laïcs français. En Juillet,
un camp d’enfants a lieu à Labatut. Un des missionnaires retourne
au Canada à cause de problèmes de santé et en janvier
1957 Laura Copp est acceptée officiellement comme la troisième
missionnaire de S.E.E..

DEBUT DU MINISTERE DE LA MISSION S.E.E EN FRANCE

En novembre 1956, une campagne d’évangélisation est organisée
à Toulouse avec la participation d€Anton Marco (baryton
d’opéra) et Henry Fluegge qui assurent la musique. Plusieurs personnes
font profession de foi durant cette campagne dont un couple qui servira le
Seigneur par le biais de la mission S.E.E. Le mari deviendra aumônier
dans l’armée française, après avoir exercé le
ministère de pasteur à Perpignan. Il y a aussi une autre dame
qui deviendra cuisinière à l’ambassade française à
Moscou et qui aura l’audace de passer des Bibles en utilisant les valises
diplomatiques. Encouragés par les réunions, les chrétiens
de l’église de Toulouse continuent à témoigner dans
leurs familles et à leurs amis. Dès le début de
l’année 1957, Mr Sommerville commence des classes bibliques pour les
nouveaux convertis.

L’été 1957, une campagne d’évangélisation est
tenue à Perpignan et a pour résultat l’établissement
de la première église baptiste dans cette ville. A ce même
moment, un contact s’établit avec une famille chrétienne dont
trois enfants sur quatre sont sauvés. Aujourd’hui les deux fils Jean-Alain
et Francis Delpuech sont à plein temps dans l’oeuvre du Seigneur.
L’évangélisation s’étend alors et touche plusieurs villes
et villages autour de Toulouse. La salle de l’église se trouve dans
le centre ville, dans un des plus vieux quartiers de Toulouse. Mr Sommerville
partage déjà la chaire avec un chrétien français.

En mars 1959, Mlle Copp déménage dans le quartier de Rangueil.
Les besoins spirituels de ce quartier semblent si grands que Mr Sommerville
a l’idée d’y monter une « chapelle en toile ». Il en obtient rapidement
l’autorisation de la mairie .

Ces réunions d’évangélisation ont un grand succès.
La tente est pleine à chaque réunion et certains même
restaient dehors pour écouter. On demande aux enfants de s’asseoir
dans l’herbe pour que les adultes puissent avoir des sièges. La
remarquable conversion de cette campagne est une jeune femme venant d’une
famille protestante traditionnelle. Elle entende le message du salut par
la foi dans le sacrifice de Christ pour la première fois et répond
sans réserve. Par la suite, elle fera venir aux réunions d’autres
membres de sa famille ainsi que ses amis et voisins.

Durant cette période, l’équipe est petite mais chacun y trouve
sa place. Mlle Copp et Mme Sommerville aident à monter la tente avec
les hommes de l’église. Elles préparent aussi les repas pour
toute l’équipe. Mme Sommerville joue de l’orgue lors des réunions,
Mr Sommerville dirige les chants, chante des solos et prêche.

Mlle Copp, elle, tient des classes d’enfants chaque jour. Elle et Mr Sommerville
montent la garde telles des sentinelles, pour empêcher que la
prédication ne soit perturbée. En faisant cela, elles ont
même plusieurs occasions d’annoncer le salut. Il en résulte
que de nouvelles personnes s’attachent à l’église. L’équipe
est encore encouragée à entreprendre d’autres campagnes
d’évangélisation avec la tente dans de nombreux quartiers de
Toulouse.

En 1960, Mr et Mme Sommerville trouvent un nouvel appartement dans une autre
partie de Toulouse où ils organisent très vite des réunions
d’évangélisation sous la tente. Cette année est une
des plus difficiles à cause d’une succession de problèmes et
d’épreuves. C’est ce qu’on appelle « les douleurs de l’enfantement »
aussi bien pour la mission que pour l’église de Toulouse.

L’année suivante, une équipe de jeunes gens d’une autre mission
passe plusieurs jours à Toulouse. Leur zèle pour le
témoignage dans les rues, leur foi simple et leur vie de prière
sont une source d’encouragement et de bénédiction pour les
missionnaires qui passaient par tant d’épreuves dans cette nouvelle
oeuvre.

 

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mai 8th, 2018 by admin_website

 

PROPHETIES SUR LE MESSIE

Tout au long de l’Ancien Testament, on découvre un portrait du Messie
de plus en plus affiné. Voici quelques-unes des prophéties
faites sur le Messie avant la naissance de Jésus.

SA NAISSANCE

Sur sa naissance, il est dit qu’il maîtrise à Bethléem
(Michée 5/1), d’une vierge (Esaïe 7/14), et que cet enfant serait
appelé « Dieu puissant » (Esaïe 9/5). Puis il nous est dit qu’il
serait hébreu, de la tribu de Juda (Genèse 49/10) et de la
lignée du roi David (Psaume 89/4).

SA VIE

Il est écrit que l’Esprit de Dieu reposerait sur lui, et qu’il annoncerait
la justice aux nations (Esaeoe 42/1); qu’il ouvrirait les yeux des aveugles,
les oreilles des sourds et guérirait les boïteux (Esaïe
35/5-6); qu’il entrerait triomphalement à Jérusalem assis sur
un anon…

SA MORT

Le prophète Daniel (chap.9 v.25-27) annonce la date de la mort du
Messie (appelé « l’Oint ») : 483 ans (ou 69 périodes
prophétiques de 7 ans de 360 jours) après l’annonce de la
reconstruction de Jérusalem en 444 avant J.C. (Néhémie
2/1: la 20e année du Roi Artaxerxès) : cela fait, (transposé
en années de 365 jours) 477 -444= l’année 33 de notre ère,
la date exacte de la mort de Jésus-Christ. Il était écrit
qu’il serait trahi par un ami (Psaume 41/10), pour 30 sicles d’argent (Zacharie
11/12); qu’il serait percé et supplicié, qu’on tirerait au
sort sa tunique, qu’on l’injurierait et que Dieu, pour un moment, l’abandonnerait
(Psaume 22), qu’on lui donnerait du vinaigre (Psaume 69/22), qu’il prierait
pour ses ennemis (Psaume 109/4) Esaïe annonça aussi qu’il serait
muet devant ses accusateurs, mis au nombre des malfaiteurs et qu’il serait
enterré dans le tombeau d’un riche (Esaeoe 53).

SA RESURRECTION

David annonça que son corps n’aurait pas le temps de se décomposer
avant qu’il ressuscite (Psaume 16); Esaïe dit qu’après sa mort,
il prolongerait ses jours (Esaïe 53).

Ce ne sont là que que quelques prophéties sur le Messie, mais
il est frappant de constater que Jésus les a toutes accomplies à
la lettre. M. Peter Stoner a calculé la probabilité pour qu’un
homme accomplisse 8 de ces prophéties à lui seul : elle est
de 1 chance sur 10 puissance 17!Il n’y a que le Dieu souverain de l’Univers
pour annoncer des évènements 1000 ans avant qu’ils n’arrivent
(le roi David vivait au Xe siècle avant J.C.). Celui qui a accompli
ces prophéties ne peut être que le Sauveur du monde, le Messie
annoncé : Jésus de Nazareth est celui-là.

Emmanuel Bozzi

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mai 8th, 2018 by admin_website

JESUS EST-IL NE EN L’AN ZERO ?

La naissance de Jésus-Christ a bouleversé le monde en divisant
notamment l’histoire du monde en

deux périodes : avant et après Jésus-Christ. Pourtant,
dans l’établissement du nouveau calendrier,

une erreur s’est glissée, de sorte que Jésus-Christ n’est pas
né la première année de notre ère mais

plutôt 4 ou 5 ans avant.

En effet, les romains (qui dominaient le monde quand Jésus est né)
dataient généralement tous les

évènements à partir de la fondation de Rome, anno urbis
1 (754 avant Jésus-Christ). En 46 avant

J.C. fut établi le calendrier Julien (du nom de Jules César)
fixant le premier jour de l’année au 1er

janvier. Ce fut au VIe siècle qu’un moine vivant à Rome, Denys
le Petit, fixa, pour plusieurs raisons

erronées, la naissance de Jésus au 25 décembre de l’anno
urbis 754 (c’est-à-dire 754 ans après la

fondation de Rome). Cette année 754 est devenue l’an zéro de
notre ère. Cet usage se répandit

graduellement : il fut adopté en Angleterre par le Synode de Whitby
en 664, dans l’Empire de

Charlemagne en 800, et finalement acceptée partout. Mais les
déclarations de l’historien juif du 1er

siècle, Flavius JOSEPH, révèlent l’erreur de Denys le
Petit. Josèphe affirme que le roi Hérode le

Grand, gouverneur de Judée à la naissance de Jésus,
est mort en 750 de l’anno urbi. L’Evangile de

Matthieu (chap. 2 v.19-22) nous apprend qu’Hérode est mort quelques
temps après la naissance de

Jésus. Jésus est donc né autour de l’an 750 du calendrier
romain (et non en 754), c’est-à-dire en -4

ou -5. La conclusion est que 2000 ans se sont déjà
écoulés depuis la naissance de Jésus-Christ!

Vincent Bourrel

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mai 8th, 2018 by admin_website

LA DEUXIEME LOI DE LA THERMODYNAMIQUE CONTREDIT LA THEORIE DE L’EVOLUTION

La deuxième loi de la thermodynamique est universellement reconnue
et observée. Elle révèle que l’énergie dans l’Univers
décroît en intensité, c’est-à-dire travaille de
moins en moins. Cela s’appelle l’entropie.Puisque c’est l’énergie
qui tient les atomes ensemble pour former la matière et garde l’Univers
en équilibre, la conséquence de cette entropie est une augmentation
du désordre dans l’Univers.

La théorie de l’évolution a pour philosophie une idée
contraire : l’Univers irait en s’améliorant, en s’organisant mieux,
à commencer par les cellules primaires jusqu’à l’homme, le
plus haut degré de l’évolution. Cette philosophie est totalement
démentie par la 2ème loi de la thermodynamique.

Qu’en est-il des organismes vivants qui semblent, eux, aller à l’encontre
de cette loi ? Le professeur Harold BLUM, éminent biochimiste, a
prouvé que la 2ème loi s’applique aussi à eux. En effet,
même si l’embryon ou la graine connaissent une période
d’organisation, les processus chimiques qui les animent s’amenuisent. Le
vieillissement et l’usure en sont la preuve. De toute façon, la biologie
montre que les gènes, dès le départ, communiquent aux
cellules de l’embryon des informations très précises que la
théorie de l’évolution, basée sur le hasard et la
nécessité, ne parvient pas à expliquer.

Stanley MILLER, dans une expérience très médiatique,
a voulu prouver qu’on pouvait recréer la vie dans une chambre à
étincelles remplie de molécules. Ayant « bombardé » ces
molécules, il a obtenu finalement des acides aminés,
éléments essentiels à la vie que l’on retrouve dans
l’ADN. Ce que les médias n’ont pas mentionné, c’est qu’il a
obtenu des acides aminés qui se sont auto-détruits (certains
acides sont en effet destructeurs pour les autres). Il a ainsi du trier les
acides aminés pour en obtenir quelques-uns. Cela est une preuve flagrante
que la vie n’est pas venue par hasard, mais qu’un intervention extérieure
intelligente et bonne l’a créée. La Bible enseigne qu’il s’agit
de Dieu, l’Eternel.

Emmanuel Bozzi

 

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mai 8th, 2018 by admin_website

 

LA RESURRECTION DE JESUS-CHRIST EST-ELLE CREDIBLE ?

Le Christianisme tout entier repose sur la résurrection de Jésus.
Aucun prophète, aucun fondateur ou chef de religion n’est
ressuscité. Si Jésus l’a bien été, cela prouve
qu’il était plus qu’un prophète, mais le Fils de Dieu
lui-même, Dieu venu en chair.

Voici maintenant quelques explications données par des incrédules
et leur réfutation.

1) Les disciples ont volé le corps de Jésus. C’est impossible,
car le tombeau était sous la garde d’une dizaine de légionnaires
romains, incorruptibles car ils risquaient la mort si le corps était
volé. Une très grande pierre scellée barrait l’entrée,
qui nécessitait les efforts violents de plusieurs hommes pour être
déplacée. Enfin, ils n’auraient pas pris la peine d’enlever
les bandes et de plier le linge à part comme cela est relaté
dans les Evangiles.

2) Jésus n’était pas vraiment mort. Cela est encore impossible
parce que les romains, voyant que Jésus avait expiré avant
les autres crucifiés ont vérifiés eux-mêmes qu’il
était bien mort en transperçant son coeur avec une lance. le
sang et l’eau qui en sont sortis prouvent que le coeur était bien
mort.

3) Les femmes se sont trompées de tombeau. C’est bien tenté,
mais les Evangiles nous prouvent le contraire (en Luc 23 et Marc 15). Marie
de Magdala et Marie, mère de Joses, ont accompagné Joseph pour
voir où il mettait le corps de Jésus. De plus, plusieurs indices
permettaient de le reconnaïtre aisément : il était à
part, dans un jardin, et était tout neuf. Enfin, elles virent les
soldats tout tremblants devant le tombeau, preuve qu’elles ne s’étaient
pas trompées.

4) Les disciples ont eu une hallucination. Selon les psychiatres, une
hallucination ne peut être que visuelle, et si elle touche un groupe,
elle ne peut arriver qu’une fois dans des circonstances très
particulières. Or, Jésus est apparu à plusieurs reprises,
pendant 40 jours (!), dans des circonstances diverses, et même devant
l’incrédule Thomas! Les disciples ont pu le toucher et l’ont vu manger.
L’apôtre Paul écrit que Jésus ressuscité s’est
montré à 500 témoins à la fois, dont la plupart
avaient perdu toute foi en Lui après Sa mort.Conclusion:

JESUS EST RESSUSCITE !

Cela peut sauver parfaitement ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant
toujours vivant pour intercéder en leur faveur. (Hébreux 7:24-25).

Emmanuel Bozzi

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mai 8th, 2018 by admin_website

Les richesses… selon la Bible

Mark 8:36 Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s’il perd son âme ?Matt 6:33 Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu; et toutes ces choses vous seront données par-dessus.

Matt 6:21 Car là où est ton trésor, là aussi sera ton coeur.

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mai 8th, 2018 by admin_website

(Suite)

– Alors, Monseigneur, demandai-je, pourquoi n’allons-nous pas à

Jésus et à Lui Seul? Pourquoi enseignons-nous aux malheureux
pécheurs qu’ils doivent aller à Marie, alors que, vous-même
venez de le confesser, elle n’est rien comparée à Jésus,
ni en puissance, ni en miséricorde, ni en amour, ni en compassion
pour les pécheurs?

Le pauvre évêque ressemblait à un condamné à
mort. Il tremblait devant moi, et il invoqua une affaire urgente devant moi,
pour me laisser. L’affaire en question était qu’il ne savait pas me
répondre.

Je n’étais toutefois pas encore converti, loin de là! Il y
avait encore beaucoup de liens qui me retenaient attaché aux pieds
du pape. Il y avait d’autres batailles à livrer avant que je puisse
briser mes chaînes! Et, bien que je fusse troublé, je n’avais
rien perdu de mon zèle pour “mon” Église. Les
évêques m’avaient donné une grande autorité et
de grands pouvoirs, le pape m’avait élevé au-dessus de beaucoup
d’autres, et j’avais l’espoir, comme beaucoup l’ont, que petit à petit,
nous pourrions réformer l’Église en beaucoup de points.

En 1851, je partis pour l’Illinois afin d’y fonder une colonie de Canadiens
Français. J’emmenai avec moi 75000 personnes et installai la colonie
sur les magnifiques prairies de l’Illinois, prenant possession de ce terrain
au nom de l’Église Romaine.

Mon travail de colonisateur fit de moi un homme très riche. J’achetai
beaucoup de Bibles et en offris une à presque chaque famille.
L’évêque était très mécontent de moi à
cause de cela, mais je ne me préoccupai pas de ce mécontentement.

Je n’avais pas la moindre idée de renier l’Église Romaine,
mais je voulais diriger mon Troupeau du mieux possible dans la voie dans
laquelle Jésus-Christ désirait me voir les conduire.

Il advint que l’évêque de Chicago fit à cette époque
une chose que nous, Français, ne pûmes tolérer. C’était
une action criminelle, et j’écrivis au pape et obtins sa déposition.
Un autre évêque fut nommé à sa place, lequel me
délégua son Vicaire Général. Le Vicaire
Général me dit :

– M. Chiniquy, nous sommes tous très heureux que vous ayez fait
déposer cet évêque qui était un homme vil. Mais
dans beaucoup d’endroits on s’imagine que vous n’êtes plus dans
l’Église Romaine. On vous suspecte d’être un hérétique
et d’être devenu protestant. Ne voudriez-vous pas nous donner une
déclaration qui nous permette de prouver dans le monde entier que
vous et vos gens êtes toujours de bons catholiques romains?

– Je n’y ai pas d’objection, répondis-je.

Il ajouta que c’était le désir personnel du nouvel
évêque d’avoir un tel document émanant de moi. Je pris
une feuille de papier, et il me sembla que j’avais là une occasion
unique de réduire définitivement au silence la voix qui me
parlait jour et nuit et troublait ma foi. Je voulus, par ce moyen, me persuader
moi-même que dans l’Église Catholique Romaine, nous suivions
réellement la Parole de Dieu, et pas seulement des traditions d’hommes
J’écrivis donc exactement ce qui suit : “Monseigneur, nous Canadiens
Français de la Colonie de l’Illinois, voulons vivre dans la Sainte
Église Romaine, Catholique et Apostolique, hors de laquelle il n’y
a point de salut. Et pour prouver ceci à votre Excellence, nous promettons
de nous soumettre à votre autorité, en suivant la Parole de
Dieu telle que nous la trouvons dans l’Évangile du Christ.”

Je signai ce papier et l’offris à la signature de mes gens, ce qu’ils
firent. Je remis ensuite le document au Vicaire Général, lui
demandant ce qu’il en pensait. Il dit: C’est exactement ce que nous
désirions. Il m’assura que l’évêque accepterait cette
déclaration et que tout serait en règle.

Lorsque l’évêque eut lu l’acte de soumission, lui aussi le trouva
correct et avec des larmes de joie, il dit: “Je suis heureux que vous
ayez déclaré votre soumission, car nous avions tous la crainte
que vous et votre colonie ne deveniez Protestants !”

Chers amis, pour vous prouver mon aveuglement, je dois vous confesser à
ma honte que j’étais heureux d’avoir fait la paix avec
l’évêque, un homme alors qui ne l’avait pas faite avec Dieu.
L’évêque me donna une “Lettre de Paix” dans laquelle
il déclarait que j’étais l’un de ses meilleurs prêtres,
et je retournai vers mes concitoyens bien déterminé à
en rester là. Mais Dieu me regardait avec Sa pitié
miséricordieuse, et Il s’apprêtait à briser cette paix
avec l’homme et non avec Lui.

Après mon départ, l’évêque se rendit au bureau
du télégraphe, d’où il télégraphia mon
acte de soumission aux autres évêques en leur demandant leur
opinion. Ils lui répondirent tous le même jour et avec
unanimité:

– Comment ne voyez-vous pas que Chiniquy est un Protestant
déguisé, et qu’il a fait de vous un Protestant ? Ce n’est pas
à vous qu’il se soumet, c’est à la Parole de Dieu! Si vous
acceptez cet acte de soumission, vous devenez vous-même un protestant!

Dix jours plus tard, je fus convoqué par l’évêque. Et
lorsque je fus devant lui, il me demanda si j’avais sur moi la Lettre de
Paix qu’il m’avait remise à ma précédente visite. Je
sortis la lettre, et lorsqu’il eut constaté que c’était bien
l’original, il courut à la cheminée et la jeta dans le feu.
J’étais stupéfait et me précipitai pour sauver ma lettre,
mais il était trop tard, elle était consumée. Je me
tournai alors vers l’évêque et dis:

– Comment osez-vous, Monseigneur vous emparer d’un document qui est
ma propriété, et le détruire sans mon consentement ?

– M. Chiniquy, répliqua-t-il, je suis votre supérieur,
je n’ai pas de comptes à vous rendre.

– Vous êtes en effet mon supérieur, Monseigneur,
répliquai-je, et je ne suis moi qu’un pauvre prêtre, mais il
y a un Grand Dieu, qui est au-dessus de vous et de moi, et ce Dieu m’a
donné des droits que je ne renierai jamais pour plaire a un homme
quel qu’il soit. En présence de ce Dieu je proteste contre votre
iniquité.

– Êtes-vous venu ici pour me faire la leçon, dit-il ?

– Non, Monseigneur, répliquai-je, mais je désire savoir
si c’est pour m’insulter que vous m’avez fait venir ici.

– M. Chiniquy, répondit–il, je vous ai fait venir parce
que vous m’avez remis un document dont vous saviez fort bien que ce n’était
pas un acte clé soumission.

– Faites-moi donc savoir quel acte de soumission vous requérez
de moi!

– Vous devez commencer par supprimer le mots: “…suivant la Parole
de Dieu telle que nous la trouvons dans l’Évangile du Christ”,
puis écrire simplement que vous promettez d’obéir à
mon autorité sans aucune condition, et que vous promettez de faire
quoi que ce soit que je vous dise de faire.

Je me dressai et dis:

– Monseigneur, ce que vous me demandez là ce n’est pas un acte
de soumission, c’est un acte d’adoration! Je vous le refuse!

– Eh bien alors, dit-il, si vous ne pouvez me donner un tel acte de
soumission, vous ne pouvez être plus longtemps un prêtre catholique.

Je levai les mains vers Dieu et m’écriai:

– Dieu Tout Puissant, sois à jamais béni! Et prenant mon
chapeau, je quittai l’évêque.

Je retournai à ma chambre d’hôtel, fermai la porte à
clé, et tombai à genoux pour examiner en présence de
Dieu l’acte que je venais d’accomplir.

Je vis alors clairement pour la première fois de ma vie que l’Eglise
Romaine ne pouvait pas être l’Eglise de Christ. J’avais appris la terrible
vérité, non pas des lèvres des Protestants, non pas
de ses ennemis, mais de l’Église Romaine elle-même. Je vis que
je ne pouvais y demeurer qu’à condition de renier la Parole de Dieu
dans un document officiel. Alors je reconnu qu’il valait mieux renier
l’Église Romaine. Mais, oh mes amis, quel épais nuage
s’étendait maintenant autour de moi. Dans mes ténèbres
je priais:

“Mon Dieu, Mon Dieu, pourquoi mon âme est-elle entourée
d’un nuage si sombre ? ” Avec larmes, je criai à Dieu de me montrer
le chemin, et pendant un moment, aucune réponse ne me vint. J’avais
quitté l’Église Romaine, j’avais renoncé à ma
position, à mon honneur, à mes frères et soeurs, à
tout ce qui m’était cher!

Je voyais d’avance comment le Pape, les évêques, les prêtres
allaient m’attaquer dans la presse et du haut de la chaire, comment ils
essaieraient de m’ôter l’honneur, le nom et peut-être la vie.

Je comprenais qu’une guerre sans répit avait maintenant commencé
entre l’Église Romaine et moi, et je cherchais si quelque ami me restait
pour être à mes côtés dans cette bataille. Mais
je n’en vis pas un, car je savais que même mes amis les plus chers
seraient dans l’obligation de me maudire et de me considérer comme
un traître infâme. Je voyais mon peuple me rejeter, et ma patrie
bien-aimée, où je comptais tant d’amis, me maudire; je comprenais
que j’étais devenu un objet d’horreur pour le monde. J’essayai alors
de me rappeler si j’avais quelque amitié parmi les Protestants. Mais
j’avais tellement parlé et écrit contre eux ma vie durant que
je n’avais pas un seul ami parmi eux. Je me vis bien seul dans la bataille.

C’en était trop et si, en cette heure terrible, Dieu n’avait
pas fait un miracle, je n’aurais pu résister. Il me semblait impossible
de sortir de cette chambre pour entrer dans un monde glacé où
je ne trouverai plus une main pour serrer la mienne, ou un seul visage pour
me sourire, mais où je ne rencontrerai que les regards qu’on jette
sur les traîtres.

Il semblait que Dieu était bien loin, mais Il était bien
près. Soudain, la pensé me traversa: “Tu as ton
Évangile, lis-le, tu y trouveras la lumière!” Agenouillé
et la main tremblante j’ouvris le livre – ou plutôt ce ne fut
pas moi qui l’ouvris mais Dieu, car voici le verset sur lequel mes yeux
tombèrent: “Vous avez été rachetés à
grand prix, ne devenez pas esclaves des hommes!” (1°épître
Corinth. ch.7. v.23). Avec ces mots, la lumière entra en moi et pour
la première fois je vis le grand mystère du salut dans la mesure
où un homme peut le voir. Je me dis:

“Jésus m’a acheté, donc si Jésus m’a acheté,
Il m’a sauvé: je suis sauvé! Jésus est mon Dieu. Toutes
les oeuvres de Dieu sont parfaites. Je suis donc parfaitement sauvé!
Jésus ne peut pas me sauver à moitié. Je suis sauvé
par le sang de l’Agneau, je suis sauvé par la mort de Jésus.”

Ces mots me furent si doux que j’éprouvai en les prononçant
une joie indicible, comme si les sources de vie s’étaient ouvertes
et des flots de lumière nouvelle inondaient mon âme. Je me dis:

“Non je ne suis pas sauvé, comme je l’avais cru, en passant par
Marie, ni en allant expier moi-même dans un “purgatoire”,
ni par la confession, ni par les indulgences et les pénitences. Je
suis sauvé par Jésus Seul !”

J’éprouvai alors une joie telle, une telle paix, que les anges de
Dieu ne peuvent pas être plus heureux que je ne l’étais. Le
sang de l’Agneau ruisselait sur ma pauvre âme pécheresse. Avec
un profond cri de joie je priai: “ Ô Jésus Bien-Aimé,
je le sens, je le sais, Tu m’as sauvé. Ô Don de Dieu, je T’accepte.
Prends mon coeur et garde-le à jamais à Toi! Don de Dieu, demeure
en moi pour me rendre pur et fort, demeure en moi pour être mon chemin,
ma lumière et ma vie. Accorde-moi de demeurer en Toi maintenant et
pour toujours. Mais, Jésus Bien-Aimé, ne me sauve pas seul!
sauve mon peuple! Accorde-moi de leur montrer le Don à eux aussi!
Oh puissent-ils t’accepter et se sentir riches et heureux comme je le suis
désormais moi-même.”

C’est ainsi que je découvris la lumière. J’avais ouvert mon
âme et accepté le Don. Vous n’avez rien à faire d’autre
que d’accepter ce Don, l’aimer et aimer Celui qui le donne.

Le dimanche matin, la foule se rassemblait dans l’Église, je leur
présentai le DON. Je leur montrai ce que Dieu m’avait
présenté: Son Fils Jésus comme un Don – et en
Jésus, le pardon de mes péchés et la vie éternelle
comme un Don. Alors ne sachant pas s’ils accepteraient le Don ou non, je
leur dis: “Maintenant, mes amis, l’heure est venue pour moi de vous
quitter. J’ai quitté pour toujours l’Église Romaine. J’ai pris
le Don de Christ. Si vous pensez qu’il vaut mieux pour vous suivre le pape
que suivre Christ et invoquer le nom de Marie plutôt que Celui de
Jésus, afin d’être sauvés, faites-le moi savoir en vous
tenant debout.”

A mon immense surprise, toute la multitude demeura assise, remplissant
l’édifice de sanglots. Je pensais que quelques-uns d’entre eux me
diraient de m’en aller, mais pas un seul ne le fit. Comme je les observais,
je vis un changement se produire en eux, un merveilleux changement qui ne
peut s’expliquer de manière naturelle, et je leurs dis dans un cri
de joie: “Le Dieu puissant Qui m’a sauvé hier peut vous sauver
aujourd’hui! Avec moi, vous traverserez la mer rouge et vous entrerez dans
la Terre Promise: avec moi vous accepterez le Grand Don, et vous serez riches
et heureux en ce Don!Je vais vous poser la question sous une meilleure forme;
si vous pensez qu’il vaut mieux pour vous suivre le Christ que suivre le
pape, et invoquer le nom de Jésus Seul qu’invoquer celui de Marie,
qu’il est meilleur pour vous de mettre votre confiance seulement dans le
sang de l’Agneau répandu sur la croix pour vos péchés
plutôt que dans le Purgatoire imaginaire après votre mort, et
si vous pensez qu’il vous est préférable de m’avoir, moi qui
désormais prêcherai le pur Évangile de Christ, plutôt
que d’avoir un prêtre qui vous prêche les doctrines de Rome,
faites-le moi savoir en vous levant !” Et tous sans exception se
dressèrent sur leurs pieds et avec des larmes me demandèrent
de rester avec eux. Et les mots seraient incapables de décrire la
joie de cette multitude. Les noms d’un millier d’âmes furent inscrits
dans le Livre de Vie.

Six mois plus tard, nous étions deux mille convertis. Un an plus tard,
environ quatre mille, et maintenant nous sommes près de 25000 qui
avons blanchi nos robes dans le sang de l’Agneau. La nouvelle se répandit
à travers tout le continent américain et même en France
et en Angleterre que Chiniquy, le prêtre le plus connu du Canada avait
quitté l’Église Romaine à la tête d’une noble
compagnie d’hommes. Partout, le nom de Jésus-Christ fut béni
et vous bénirez avec moi le Sauveur adorable et miséricordieux,
maintenant Que je vous ai raconté ce qu’Il a fait pour mon âme.

Mission Maranatha, Mont-Tendre 3

1400 YVERDON Suisse

C. Chiniquy a raconté sa vie d’une manière beaucoup plus
détaillée

dans son livre intitulé “Mon combat”. Cette biographie a
été rééditée sous un autre titre:
“Chiniquy”.

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mai 8th, 2018 by admin_website

 

LUC S’EST-IL TROMPE ?

Fin 1994, le journaliste Jacques DUQUESNE (catholique pratiquant) sort un
livre, intitulé JESUS, qui connaît un certain succès
médiatique. Ce livre reprend malheureusement des thèses qui
nient la véracité des Evangiles et la réalité
historique de la personne de Jésus.

A propos de sa naissance, M. Duquesne dit dans une interview au mensuel LE
POINT d’octobre 1994 : « Est-il né à Bethléem à
cause du recensement? Non, car à cette époque il n’y a pas
eu de recensement. Où, alors? « On ne sait pas. On sait juste qu’il
est né vers l’an -6 »  Un peu plus loin, il récuse la naissance
miraculeuse de Jésus du sein d’une vierge. Jésus n’est certes
pas né un 25 décembre, ni en l’an zéro, cela nous le
savons. La date du 25 décembre a été choisie comme symbole,
car elle correspondait à la fête païenne de la lumière
(solstice d’hiver). L’an zéro est une erreur du moine Denys (voir
l’article sur le sujet).

Par contre, les preuves historiques viennent confirmer la virginité
de Marie à la naissance et le recensement. La virginité était
annoncée par le prophète Esaïe (chap.7 v.14). Le mot
hébreu employé « alma » peut signifier vierge ou jeune fille,
mais une jeune fille à cette époque, était forcément
vierge !  De plus, la traduction dite des Septante (traduction de l’Ancien
Testament en grec commun, attribuée à 70 rabbins d’Alexandrie,
terminée en 150 avant J.C., et citée fréquemment par
les apôtres) donne « parthenos » ce qui signifie exclusivement vierge.
[L’apôtre Paul affirme sa croyance en la conception miraculeuse de
Jésus en Galates 4:4 : « Dieu a envoyé Son Fils, né d’une
femme »  » Les juifs étaient fils de leur père et il est exceptionnel
que Paul mentionnait que Jésus soit « né d’une femme ».]

Quant au recensement ordonné par Quirinius, on croyait à la
fin du XIXè siècle que Quirinius n’avait régné
en Syrie que de + 6 à + 9, ce qui semblait contredire le témoignage
de Luc chap. 2.  Mais l’archéologie est venue confirmer la Parole
de Dieu : on a, en effet, découvert à Tivoli (Italie) des papyrii
déclarant que Quirinius, légat de César Auguste, avait
été deux fois gouverneur de Syrie, une fois de – 7 à
– 2 et la deuxième fois de + 6 à + 9. C’est dans cette
première période (entre -4 et – 5) que Jésus est né,
[De plus, Quirinius est connu dans l’Histoire pour son 2ème recensement
qui avait provoqué de vives émeutes, conduites par Judas le
Galiléen. Le premier recensement cité par Luc (Luc 2/2 : « Ce
premier recensement » ) eut lieu dans le calme car il fut fait à la
méthode juive, par tribus et par familles. C’est pourquoi Joseph et
Marie, tous deux descendants de David, ont du se rendre à la ville
de David, Béthléem, pour se faire recenser,] accomplissant
ainsi sans le savoir une prophétie vieille de 700 ans du prophète
Michée (chap.5 v1) : « Et toi, Béthléem Ephrata, petite
entre les milliers de Juda, de toi sortira pour moi celui qui dominera sur
Israël et dont les activités remontent aux temps anciens, aux
jours d’éternité.

Sir William Ramsay, un éminent archéologue anglais, a
étudié avec minutie pendant trente ans les écrits de
Luc (l’Evangile et les Actes) avec un préjugé défavorable.
Il a fini en concluant : « Luc est un historien de haut rang; non seulement
ses affirmations sont-elles exactes mais cet auteur devrait être
placé à côté des plus grands historiens »

Emmanuel Bozzi

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